Aurèlie avance d’un pas non-chaland vers le grand et somptueux restaurent! Elle a décidé d’aller se montre. Elle portait une robe coutre et très décolletée. Dans la rue, tout le monde se retournait quand elle passait. Peut-être parce qu’elle était d’une grande beauté, mais peut-être aussi parce qu’elle était très provocante. Avec ses talons aiguilles, ses longues jambes étaient mises en valeur. Ses cuises étaient ferme et très sensuel. Les hommes dans la rue la suivre des yeux, quand elle passait à coté heu. Son parfum était irrésistible et aucun gars ne pouvaient y succomber.
Elle prit la poigner de la porte du restaurent et rentrent presque au ralentie. Tout le monde se retournèrent pour l’admirer. Elle prit sa paire de lunette de soleil et les mis sur sa tête. Elle passa sa main dans ses longs et magnifiques cheveux blonds, tout en les fessant basculer d’un coté et de l’autre. Ils étaient légèrement bouclés et ils sentaient la rose. Elle regarda autour d’elle et vue que tout le monde la regardait, sauf une seule personne. Un jeune assis dans le fond du restaurant qui ne semble pas l’avoir vu rentré. Elle se mise à avancer dans sa direction d’une démarche des plus sexy. En passent entre les tables tous les hommes lui regardèrent les fesses, même qu’un heu ne ce genêt pas pour lui pogné une fesse et lui dire :
[b]-Hey bébé, tu m’existes, tu sais, je te veux ! [b]
Elle ce retourne et regarda l’homme en question et fière de son effet sur lui elle se pencha pour lui montrer son généreux décolleté et lui dit :
[b]-Je suis désoler, je suis occuper et tu n’as aucune chance. Hahahaha ! [b]
Et elle continua à marcher dans la direction du jeune homme assis seul a une table ! Elle ce planta devant lui, prix un position sexy pour qu’il la trouve de son goût. Elle sourie de belle dent, ses lèvres étaient généreusement pulpeuses et tout le mondes auraient envie d’y pauser les siennes sur cette bouche désirable. Elle vu que le jeune semblais gêner et elle lui dit :
[b]-Excuse-moi, j’ai vu que vous étiez seul. Et bien moi aussi je suis seule, cela vous dérange si je m’assois avec vous ! [b]
Elle planta son regard dans le sien. Ses yeux bleus électrisent le regardait d’une manière dont le jeune homme n’avait jamais été regardé.